jeudi 26 février 2009

De Mexico a Puerto Vallarta : en route vers le Pacifique...

Le 11 fevrier, il etait temps de quitter Mexico pour nous rendre d'abord sur la cote pacifique, a Puerta Vallarta, pour observer les baleines a bosses. Ensuite dans le nord pour explorer la region des canyons.

Marielle a malheureusement du nous laisser momentanement, rappelee en France pour des raisons familiales. Son retour n'est prevu que le 21. Et comme Helene est toujours dans le Yucatan avec ses parents, nous, les 2 Olivier, allons nous retrouver seuls durant une douzaine de jours.

Vu les prix eleves des transports en bus, nous avons opte pour la location d'une petite voiture pour nous deplacer durant cette periode. Meme a 2 au lieu de 3 personnes, cette solution etait plus avantageuse. Nous nous rendons donc de bon matin a l'agence Hertz de l'aeroport de Mexico pour y retirer le vehicule. Et la, colossale fut notre surprise, apres avoir signe le contrat : le prix est presque 4 fois plus eleve que celui annonce lors de la reservation sur internet. Et dire que nous etions prets a partir, avec le recepisse de carte de credit signe... Heureusement, un dernier regard sur le prix total nous met la puce a l'oreille et nous glace presque le sang. Une conversion rapide des pesos en dollars americains (la devise utilisee lors de la reservation) met a jour notre meprise : il y a bien 10000 pesos (600 euros) en trop a payer ! Cette difference correspond aux nombreuses taxes et assurances du vehicule. Des lors, nous stoppons la transaction en expliquant que nous ne disposons pas d'un tel budget, et pendant plus de 2h, nous repensons l'integralite de nos plans tandis que l'equipe d' Hertz nous fait quantite de propositions a la baisse pour arriver finalement au tiers du prix de depart (presque le meme tarif que les trajets en bus).

Considerant la voiture comme un gage de liberte, nous acceptons finalement l'offre (tout en nous excusant platement) et nous partons, atlas routier a la main. Aux dires des loueurs, suivre le peripherique et prendre la sortie pour la cote pacifique est un jeu d'enfant. La realite est toute autre: la signalisation dans Mexico est confuse, voire manquante et nous ne trouverons jamais la sortie voulue. De plus, les indications de l'atlas nous donne des durees de voyage bien plus elevees que celles que nous escomptions (on roule a 80 km/h de moyenne sur ces routes-ci). Enfin, la difficulte de gerer le traffic et l'idee de devoir rouler la nuit nous font prendre la decision rationnelle de rendre illico la voiture apres une balade de 2h (pour 31 km) dans les rues de la capitale.


Non, conduire a Mexico n'est pas un exercice stressant...

Honteux et confus, a l'agence nous payames notre du, et jurames de voyager en bu(s). Les voyages en bus de nuit offrent de nombreux avantages : tres confortables au Mexique, on y visionne des films, on economise une nuit d´hotel, et on arrive pas tres frais, mais dispos a Puerto Vallarta.


Nous serons bien a l´hotel Ana Liz, a partager un grand lit "matrimonial" (comme on dit ici) et faire nos lessives en retard. La nourriture nous convient tres vite : des fruits frais (mais sales-citrones), de la machaca (viande "effilochee" melangee a de la puree), et surtout des tacos (galette de mais) garnis (chorizo, porc, trippes, oignons...) ou des quesadillas (grandes galettes de mais avec du fromage et pareillement garnies).


A l'hotel Ana Liz


Puerto Vallarta, c'est un peu la cote d'azur sur le pacifique. Deambuler dans la ville, c'est un peu comme marcher sur la promenade, non pas des Anglais, mais des Americains. Ils sont en effet nombreux a fuir la rigueur hivernale de l'Alaska, des grands lacs ou des plaines du Canada. Quant a nous, notre lieu de predilection fut la plage, avec les collines qui se jettent dans l'ocean et d'intrepides oiseaux qui en font autant. A observer ce spectacle loin de l'activite de Mexico, nous en oublions presque que le lendemain, nous avons rendez-vous avec les cetaces.


Le matin du vendredi 13 fevrier, nous nous rendons a la marina pour embarquer sur le Puerto Vallarta Adventure 1, un catamaran rempli de touristes Americains, canadiens, quelques mexicains (surtout l'equipage) et 2 europeens (devinez qui). Au programme des 7 heures d'excursion : observation des baleines a bosse, palme-masque-tuba au bord des iles Marietas et kayak de mer. A bord, David, le chef de l'animation, fait un expose drole et theatralise sur la facon de se comporter pour que chacun puisse observer les baleines (qu'elles soient a babord ou a tribord), et meme comment enfiler une combinaison, des palmes ou respirer au travers d'un tuba, pour les nombreux neophytes presents.




C'est l'entree de la marina de Puerto Vallarta, ou celle d'un parc d'attraction ?
Et oui, c'est la marina, et ce bateau n'est pas le notre...


Apres 3/4 d'heure de navigation, nous croisons les premiers cetaces et un profond silence s'installe sur le bateau. Meme a distance, ces geants inspirent le respect.




Une mere et son petit sont plus faciles a observer, car il doit remonter plus souvent pour respirer.



Venues d'Alaska, et quittant leur garde-manger, les baleines a bosse viennent s'accoupler ou mettre bas (un bebe de 700 kg) dans ces eaux, plus sures et plus clementes. Au bout de ce periple, elles auront perdu plus de la moitie de leur poids, ce que cherchent peut-etre aussi les touristes americains venus ici.

Apres une petite heure d'observation, Pedro, le capitaine, met le cap sur les iles. Et apres s'etre equipes, nous nous jetons a l'eau (legerement fraiche), en esperant y observer une faune coloree. Nous n'en garderons pas un grand souvenir, d'une part parce que la visibilite etait tres mediocre, d'autre part a cause de l'attitude de certains encadrants, prets a se saisir a mains nues d'un poisson-globe pour impressionner les clients (et qu'ils en aient pour leur argent ?!).


Les poissons que l'on voyaite mieux, finalement, étaient ceux qui se pressaient aux abords du bateau.

A peine remontes sur le bateau, nous sautons illico dans un kayak, histoire de pagayer et de s'approcher des cotes pour observer un bon nombre d'oiseaux niches sur les rochers. Ce fut un court mais bon moment de tranquillite et d'apaisement, a quelques encablures de l'agitation du buffet qui venait d'etre servi a bord.



De retour sur le catamaran, nous comprenons pleinement la signification du terme "all inclusive" : on peut non seulement se servir a volonte, mais l'equipe semble mettre un point d'honneur a ce que nos verres ne soient jamais vides. La recette est simple : pina colada et tequila sunrise + DJ et musique d'ambiance (americaine, il va sans dire ) + chaleur et soleil = ambiance qui monte et un bateau presque boite de nuit, qui rentre au port un peu trop rapidement a notre gout, sans recroiser les baleines comme on nous l'avait quasiment assure.




Tequila sunrise ou pina colada ?





En remettant pied a terre, notre sentiment est mitige. Nous avons bel et bien observe les baleines et ce spectacle vaut le detour. L'objectif est atteint, mais neanmoins dillue dans une serie d'activites dignes d'un camp de vacances. Finalement, enivrer l'assistance n'etait-il pas un moyen de noyer le poisson, euh... la baleine.


"J'aurai donc passe trois jours dans cette station balneaire et je les placerai sous le signe de ... l'eau.

L'eau - cean / Pacifique bien sur avec un peu de temps passe dessus et dessous... et ces visions de poissons et de mammiferes jamais vus auparavant ;

L'eau - tre / touriste, avec la forte frequentation americaine et canadienne, qui donna a notre presence un sentiment d'isolement ... non desagreable dans ce brouhaha ;

L'eau - H2O / element naturel, qui une fois glacee donne un bon gout a la pina colada ou la tequila !

Je quitte Puerto Vallarta sans nEAUstalgie, avec l'image en tete de ces collines verdoyantes ensoleilles au loin, tombant dans l'ocean... et moi sur la plage !"

EAUlivier OR ...



"Au Mexique, apres 6 mois d'Asie, c'est un retour sur des terres catholiques... avec des pratiques parfois pas tres catholiques... mais souvent avec une ferveur toute particuliere.
Tout d'abord, visiter une eglise ici, c'est obligatoirement voir le portrait de Notre Dame de Guadalupe. Elle a meme souvent la premiere place, releguant le Christ a un role de figurant. Il faut dire qu'elle a une importance toute particuliere dans le coeur des Mexicains. La premiere apparition de la Vierge sur le nouveau monde a eu lieu ici, a un idigene, Juan Diego. Les populations se sont alors converties en masse. Et le plus curieux, c'est que, en apportant a l'eveque des roses inconnues au Mexique comme preuve de l'apparition, l'image de Marie s'est imprimee sur le vetement de Juan Diego. Le linge est aujourd'hui jalousement gardé. La NASA a fait des recherches et n'a pu découvrir l'origine des pigments de la peinture. Beaucoup de mystere et de veneration...
Quand le Christ est represente, on le voit souvent en train de vivre sa Passion. Alors, on le montre couvert de blessures et de sang, ou encore en train de tomber. C'est une vision tres doloriste, qui peut parfois faire peur. Mais quand on pense que beaucoup de societes pre-colombiennes pratiquaient des sacrifices humains, l'image d'un homme qui souffre, saigne et donne sa vie en sacrifice n'etait-elle pas particulierement pertinente il y a 5 siecles (et aujourd'hui encore)?
Apres Marie et Jesus, on est surpris de trouver, a l'occasion, des statues de Dieu lui-meme. Et pour ceux qui ne le sauraient pas, il est plutot vieux, avec une longue barbe blanche, evidemment...
Enfin, on ne sera pas surpris de voir ca et la des melanges de tradition chretienne et d'anciennes pratiques religieuses. Ainsi, le christ se retrouve au milieu de danses et rites indiens. Un marche tres special a Puerto Vallarta representait bien tout ce joyeux melange : medecine traditionnelle, chamanisme, amulettes, protection des anges et pratiques purificatrices. On y vend tout le neccessaire pour son bonheur... et celui du portefeuille du vendeur."
Olivier H






Pour se purifier l'ame et le corps, un bon bain de pied (en bas a droite), et vous etes un homme neuf en quelques minutes...



Le lendemain, il a fallu un peu de temps pour nous remettre de toutes nos emotions...
Mais il etait temps de quitter Puero Vallarta, direction le nord et la terre ferme ! Mais avec nos photos (voir plus haut), pourrons-nous rivaliser avec celle-ci pour gagner 500 dollars au concours des plus jolis cliches ? A vous de voir ...


lundi 16 février 2009

Sequence retrouvailles au Mexique...





Trois jours apres avoir atterri a Mexico, c'est impatiente que je rejoins au terminal 2 de l´aeroport, mes parents, Guillaume et Cecile. Nous embarquons ensemble a destination de Cancun, point de depart de notre periple dans le Yucatan.
Des le lendemain, nous rencontrons Victor (un homme impregne de sa terre et de sa culture) qui, pendant cinq jours, nous devoilera tous les secrets de la civilisation Maya (230-900). Il nous guidera avec passion sur les tresors archeologiques de Chichen Itza, Uxmal, Chicana, becan et Xpujil.



Le chateau de Chichen Itza et Helene a l assaut d une pyramide sur le site de Becan

Christian et Victor en grandes dicussions.....a propos des Mayas?



Le site de Tulum, magnifique au bord de la mer.


Victor nous fera egalement decouvrir quelques tresors naturels du Yucatan tels que l'oeil d'eau (source d'eau douce dans la mer) dans la region de Merida:

Guillaume et helene, les seuls qui n'ont pas peur de se mouiller!

les cenotes (puits naturel creuse dans le calcaire) :

A gauche, le cenote du site de Chichen Itza ou l'on jetait des corps en offrande aux dieux, a droite un cenote dans une grotte ou nous nous sommes baignes.


Celestun et ses 5000 flamants roses:



Impressionnant
tout ce rose entre le bleu de la mer et le vert de la mangrove!



Les haciendas (propriete des exploitants du sisal avec la culture de l'agave (les fibres de cet agave la sont utilisees pour la fabrication des cordes en sisal).



Christian, Doriane, Guillaume et Antonio dans un champs d'agave.



"Le Mexique m'a eblouie par sa palette de couleurs: les etals de fruits et les fleurs exotiques, les poteries, les rues aux maisons colorees de Campeche, les flamants roses, la decoration des haciendas et le bleu turquoise de la mer. A Merida, j´'ai apprecie les danses folkloriques au cours des bals hebdomadaires. De part notre taille, nous surplombions toute la foule, dans le regard des mexicains nous nous sommes rendus compte que pour eux nous etions aussi un spectacle!!" Cecile.







"Ce que nous avons apprecie durant notre sejour?
En premier lieu, les retrouvailles avec Helene, etre ensemble, c'est a dire toute notre petite famille durant ce sejour. Ensuite chaque jour etait different, culture et detente ont ete au menu de notre periple. D'ailleurs nous terminons notre sejour par du farniente sur une ile paradisiaque (sable fin, mer bleue, soleil,...) qui, vous le comprendrait aisement, n'incite pas a la concentration pour l'elaboration de cette page de blog."
Christian et Doriane.




"Ce voyage fut parseme de nombreuses decouvertes. Entre autres: une promenade en bateau (petit) dans la reserve naturelle de Celestun pour contempler les flamants roses (environ 5000). Helene et ses compagnons sont a peu pres a la moitie de leur voyage, nous attendons encore cinq mois pour la revoir...a la rentree des classes." Doriane.

"Jumbotti! (merci en Maya) Jumbotti car la culture Maya me passionne et a travers Victor, nous avons perce les mysteres astronomiques, culturels et religieux de cette civilisation.




Jumbotti car les cenotes : sites religieux mais aussi "piscines" souterraines magnifiques nous ont rafraichis de cette chaleur et de ce soleil torride. Jumbotti pour le "Pollo a l' achiote" (poulet aux epices), la soupe lima (avec du citron), et les quotidiens au p'tit dej. Jumbotti pour toutes les rencontres qu'a occassionnees ce voyage : Victor, Jorge et Antonio dans l'hacienda qui fabrique la fibre (enecken) ou sisal. Jumbotti pour cette douce et paisible fin de sejour aux bords de la mer des caraibes. Malo (au revoir) au Mexique et Jumbotti pour ce voyage inoubliable." Guigui.




"Au Yucatan, nous avons decouvert les fameux cenotes. Il y a 65 millions d'annees lors d'un cataclysme, un gigantesque meteore s'ecrasa sur la region correspondant a l'actuelle peninsule du Yucatan. Plusieurs millions d'annees plus tard, des fissures se formerent juste sous la surface calcaire du perimetre du cratere, et les eaux de pluie commencerent a remplir les cavites crees par ces fissures. Petit a petit, les couches superficielles bombees entourant les cavites souterraines commencerent a s'eroder et a se desagreger, revelant ainsi le reseau complexe de rivieres souterraines et de cenotes qu'elles cachaient jusqu'alors.

Les cenotes sont donc des puits naturels creuses dans le calcaire utilises comme reservoir et certains, par exemple celui du site de Chichen Itza, revetaient un caractere sacre chez les anciens Mayas: on y jetait des jeunes vierges en offrande aux dieux. Nous avons pu nager a plusieurs reprises dans ces piscines naturelles et ces baignades "hors du temps" etaient rafraichissantes et fortes agreables.

J'ai passe des super vacances en famille. Le sejour s'est passe dans la joie et la bonne humeur. Nous etions tellement contents de nous retrouver que les trajets en minibus etaient presque trop courts pour que chacun ait le temps de raconter sa vie des 6 mois precedents..."
Helene.

un des nombreux iguanes rencontres, j'espere que celui ci ne s'est pas glisse dans la valise de Doriane!



Le 16 fevrier, la famille Kerckhove embarquait pour Paris et moi pour une ville au nom imprononcable a l´ouest de mexico: Guadalajara. J´allais rendre visite a Gaelle, une copine qui travaille actuellement au lycee franco mexicain de Guada.


A peine arrivee, j'ai rencontre deux de ses amis mexicains: Gadlino et Cesar avec qui nous avons deguste les meilleurs tacos de la ville.Les tacos sont de petites galettes de mais agrementees de viande, d'oignons a la sauce tomate (rouge ou verte), si on aime le chili (et j´ aime de plus en plus), on peut toujours en rajouter!
Guadalajara appartient a l´etat du Jalisco, c´est la ville des mariachis, des musiciens ambulants qui jouent en costume, des ballades traditionnelles a la guitare et a la trompette. On les rencontre quasiment a toutes les terrasses des cafes.


A droite, c 'est nous et a gauche ce sont les dos des mariachis....

Durant toute la semaine, c´est Gadlino avec sa camionnette jaune qui nous a baladees dans Guada et ses alentours.

Le premier jour, c'etait la visite de Tlaquepaque, un quartier aux maisons colorees qui est un centre important d'art et de ceramique. Ici j´ai goute la specialite du coin: la torta (sandwich a la viande) arrosee de sauce tomate (et oui encore!) et la jolie place decoree de bancs, de fleurs et d´une fontaine incitait a la degustation d'une glace!!




A peine revenues de notre excursion, nous nous sommes rendues a la Lucha libre (combat de catch).
WAOUH!! cette soiree fut memorable: assise au second rang et munie d'un litre de biere (qu´on m´avait offerte), je me preparais mentalement a la suite....la salle se remplissait peu a peu et des qu'une fille passait devant le ring, elle etait sifflee par tout le public.
A ce moment la, je realise que si l'envie me prend d'aller aux toilettes, je connaissais d'avance le sort qui m'etait reserve! Ni une, ni deux, j'ai refile la biere a mon voisin!
Quelques minutes plus tard, c'est Marco Corleone Toscano contre Mr. Niebla Black Warrior qui ont ouvert le show.
Des lors, le public se lache, balance des insultes, leve les bras, siffle et crie a tout va. Au debut, ce sont des catcheurs amateurs et on reserve pour la fin les professionnels.
Bien entendu etre un professionnel du catch est tout un art: d'abord il faut entretenir son corps: muscles, pectoraux et plaquettes de chocolat sont des atouts obligatoires, ensuite il faut savoir chauffer le public et enfin il faut avoir le gout du " deguisement"
Le catcheur le plus adule fut le denomme: l'Italien : un grand blond (sans la chaussure noire) ultra muscle avec un mini slip assez grand pour y presenter l'effigie de Jesus!! et c'est dans cette culotte, pour le moins originale, qu'il faisait trembler sa fesse droite sous les hurlements des filles completement hysteriques!
Cette nuit la,je ne vous raconterai pas mes reves mais entre la biere, Jesus et l'Italien, c'etait cocasse!
Le lendemain, nous avons visite, toujours en caminette, une reserve (dont j’ai oublie le nom ¡!), l'occasion de se balader autour d’un lac borde d'arbres centenaires et de manger des quesadillas (galettes de mais au fromage) au son des mariachis.
La moitie de la semaine etait deja passee que nous n' avions meme pas eu le temps de visiter Guadalajara (seconde ville de Mexique), nous avons debute par le musee archeologique puis c'est a la recherche d'un diademe (ma coupe de cheveux ratee oblige) que nous avons deambule dans le centre, un centre ville assez moderne avec une belle cathedrale, une grande place ou pour la saint Valentin a eu lieu le concours du couple qui restait le plus longtemps a s'embrasser (Gaelle n'a pas participe mais a su que les gagnants sont restes 20H bouche a bouche!)



la vierge de Zapopan

Cette journee s'est conclu par le concert du groupe de gadlino qui reprenait dans un style jazzy les classiques du moment. Ce fut un concert de qualite que j'ai fortement apprecie.

Voici, entre autres, quelques unes de mes peripeties avec Gaelle a Guadalajara….

Gaelle, merci encore pour ton accueil, j’ai passe une super semaine…je reviendrai!



Et c'est au volant de ma super coccinelle que j'ai regagne sans aucune difficulte la capitale de Mexico!
Et oui les deux Olivier vous le diront, conduire a Mexico est un jeu d'enfant!